
Un conte écologique théâtralisé inspiré du texte de Héléna Bak
Dès 8 ans
Adaptation : Collective Conception, mise en scène et interprétation : Claudine Vigreux Collaboration artistique : Roland Franz Depauw Scénographie, costumes et accessoires : Claudine Vigreux Création lumière : Jean-Marie Daleux Affiche: Nadine Demarey
Durée : 30 minutes
Jauge : 60 à 100 spectateurs selon le gradinage
Soutien : Production agréée par le Département du Nord, dans le cadre du dispositif de l'aide à la diffusion culturelle.
Remerciements : la ville de Lille, la Mda, la Maison Folie Moulins et son minilab, La Verrière, La Manivelle Théâtre, la Brat Cave, le Jardin des Bennes, Jacky La Brocante, l'école de la forêt, les sites de don et leurs donateurs/trices, Roland Franz Depauw, Eléna Casteran, Solange Parenty, Isabelle Lefebvre, Emmanuel Plovier, Jean-Claude Codevelle, Nadine Demarey, Nell Colliau, Jeanne Gourssol, Pauline Croquet, Patricia Dewevre, Chantal Bouten, Luce Janssens, Claude Brevière, Claudine Rose, Philippe Brulois et tous les ami(e)s pour leur précieux soutien,regard ou coup de main.
La Maladie des Nuages, un titre qui porte une force poétique, un texte qui fait voyager pour un autre regard sur le monde environnant, sur l'origine de nos maux et les envies de porter les rêves haut.
Les hommes ne savent plus s'écouter ni échanger. Heureusement les artistes ont appris à retranscrire le message de la terre. Annaëlle, la tortue, convoque une assemblée des animaux pour trouver un remède contre le malheur. Elle s'envolera avec l'aigle jusqu'aux nuages…
L'interprète, Claudine Vigreux donne corps et voix à Anaëlle la tortue et aux personnages qui composent ce voyage. Avec un baluchon, une chaise haute et quelques objets qui stimulent l’imaginaire, une mise en scène épurée pour redonner place aux mots, une atmosphère chaleureuse et mystérieuse pour balayer les idées noires et peindre haut en couleur les utopies et l’empathie. Il y a tant de choses invisibles que l’on croit insignifiantes, pourtant à y regarder plus attentivement, à se pencher sur nos en-vies, nos émotions, nos champs de batailles, nos cultures, nos traditions, l’on peut s’interroger, re-construire, ériger, se fabriquer des ailes pour tenter le saut, l’envol vers nos aspirations.
Un voyage pas piqué des vers. Une poésie douce pour effacer l’amertume de nos schémas pré-établis, un peu rouillés, un peu désordonnés ou cabossés. Faire sens, planter des graines de réflexion, observer un cheminement bien de notre temps.
Prendre le temps d’écouter, de regarder, d’entendre, la mémoire de la terre, les récits gorgés d’inspiration envers les animaux et les hommes, la volonté de témoigner d’une parole universelle et bienveillante, construire pas à pas, ne pas oublier, semer, échanger et surtout prendre soin de nos rêves et ne pas les laisser se faner.
